Bienvenue sur depece mode

Déconnexion Sanglante

Nurglitch :

Telle était ma devise : rues cabossées, gens à défoncer. Aujourd’hui les rues étaient dans un état particulièrement lamentable, ma cheville manquait de peu, à chaque pas, de défaillir. Cette envie de tuer, de détruire, était en moi plus présente que jamais. La horde de crasseux qui s’avançait à contre sens, sans oublier les bourrades d’épaule appuyées, me confortaient ans ma violence. C’est alors que, l’air de rien, une poussette pris nonchalament la totalité de la place disponible pour le passage, et ses occupants hurlaient à pleins poumons. C’est alors que je commis l’irréparable…

Kegarawashii :

Je pris par les cheveux le plus bruyant des 3, il criait tellement que c’est à peine si mes tympans allaient exploser, c’est alors que, par insctinct de protection, ma main le lâcha, laissant tomber le morveux qui se casse alors une jambe, permettant à un des os de déchirer la chair du bébé dans un éclat de sang voluptueux.

Nurglitch :

La mère des enfants réagit instinctivement, et voulu crier pour alerter quelqu’un, mais j’eus un reflexe salvateur et lui brisai le cou avec mon pouce et mon index. Le corps ballant du cadavre alla s’écraser lourdement sur le manche de la poussette, ce qui fit voler les 2 moutars dans les airs. L’un alla s’empaler sur une grille sans un son, et l’autre plus chanceux alla aterrir dans l’un des aquariums à homards d’un des commerces aux alentours. Le premier des enfants, celui que j’avais attrappé par les cheveux saignait à mort, en hurlant d’autant plus fort que son sang couvrait le sol crasseux. La vue d’autant de sang réveilla en moi mes instincts les plus profonds, et je dévorais le bambin en moins de deux minutes

Kegarawashii :

Ce festin prenait fin, et il ne restait plus que la tête, le reste était dans mon corps, j’utilisai alors le rebord d’un aglot pour ouvrir le crâne en le martellant passionément. Quand enfin le « couvercle » se détacha, je vis alors une cervelle athrophiée, elle constituait alors mon dessert, son gout envoûtant m’imprégnait pendant que les yeux, autrefois rattaché à la tête de bambin, roulé tout droit vers le caniveau. Une fois le repas fini, j’entendis un cri : c’était le vendeur de homards voyant un des bébés qui était tombé dans son aquarium se faire découper en rondelles fines par un de ses précieux animaux

Nurglitch :

J'étais toujours dans cet état second, de demi conscience meurtrière. Le cri du marchand m'attira désespérément à lui. Je passais devant l'aquarium, mais plus rien n'était visible : l'opacité du sang était trop intense. Dans le restaurant, plusieurs clients étaient attablés devant leurs assietes, mangeant grassement, rotant bruyament, pétant inssuportablement, et riant de façon outrancière. Je ne pouvais evidement plus tolérer ces écarts de vices, et je me mis à frapper résolument le premier client à portée de mon courroux. Ce vieil homme, un octagénaire, venait certainement pour utiliser ses économies à manger es custacés. Après quelques coups, qui ont attirés les regards inquiets des clients, je pris le vieil homme mou, arqué et courbé à la gorge, l'élevait au dessus du sol, et criait comme un dément « C'EST TOI LE CRUSTACE », puis je lui fis exploser la tête, je lui laissant pas le temps d'objecter. Sa cervelle, déjà moisie dans l'hote, alla arroser femmes et enfants présent aux alentours.

Kegarawashii :

Se souleva alors un élan de terreur poussant les gens effrayés à se précipiter vers la sortie, créant un chaos démesuré ; ils criaient, se poussaient les uns les autres, piétinaient les plus faibles qui étaient tombés, sans leur laisser une seule seconde de répis, écrasant, déchirant ces corps en larmes. Un amas de corps déchiqueté se format, gémissant rampant désespérément pour échapper à mon courroux. Mais c’était bien vain, je choppais une femme, une de ces grosses d’environ 110 kgs, et m’en servit comme gourdin sur ses congénaires. Ce tas de graisse immonde broyait tout, laissant les corps déformés ou s’échappait le sang par tous les orifices que sont bouche, anus, nez et oreille, voir même peut être par le sexe.

Nurglitch:

Mais à mon grand étonnement, plus je frappais avec cette arme, et plus elle devenait légère. C’est alors que je me sentis obligé de faire ma petite enquête : d’étranges traces étaient apparues sur les murs et les corps, des sortes de limons bruns-jaunes. Les conclusions étaient évidentes : la graisse s’échappait tout simplement par les vergetures et venaient se crasher en petits amas. Le corps écartelé que je tenais par le mollet me confirmait mes hypothèses. Je dus alors trouver une autre astuce pour tout ravager. Mais ma torpeur soudaine avait laissé le temps au plus faible des rescapés de prendre la poudre d’escampette. Je sortis alors en rage au dehors, mais la police avait déjà investi les lieux. On m’intima l’ordre de me soumettre. Au lieu de cela, je choisis de pratiquer le déplacement instantané, et je me retrouvais dans les rangs d’uniformes bleus, que je me fis un plaisir de tuer

Kegarawashii :

De mes poings ensanglantés j’en tuais quelques uns, mais voulant changer de style, j’empruntais le pistolet d’un de ces malheureux abrutis qui ne comprenaient pas ce qui se passait. L’un d’eux voulu apeller des renforts, je tirais alors en plein dans sa main qui vola en éclats. Ses coéquipiers décidèrent alors enfin de me tirer dessus, mais ces écervelés m’avaient encerlés, et je n’eus qu’à me baisser, et s’en suivit alors une tuerie des plus éclatantes, les balles fusaient autour de moi, allant se loger dans les corps amis. Certaines se logaient dans les têtes, d’autres dans les corps, les propulsant ainsi dans une fontaine, la remplissant alors de sang frais. Ce feu d’artifice sanglant était l’un des plus beaux spectacles auquel j’avais pu assister.

Nurglitch :

Après la chute du dernier corps sur le macadam, il y eut un silence de mort. Plus personne à l’horizon. Il n’y avait que le buissement d’ailes des oiseaux de proie, venu de l’arrière pays, et ameuté par les exhalaisons sanguines à des kilomètres. Pendant le repas des oiseaux, je m’amusais à utiliser les pistolets des défunts miliciens pour m’entrainer au tir. Ce n’était en rien comparable à la tuerie du restaurant. Dégouté, je venais de me rendre compte en regagnant ma conscience humaine que j’avais raté mon train. Je me mis alors à pester, en donnant sur mon chemin de grand coups, un pour chacun, aux badauds que je croisais jusqu’à la gare. J’ai vainement espéré tout le chemin que les passants réagiraient à mes coups d’une quelconque manière hostile, mais rien ne se produisit. Sale journée. C’est alors que j’entendis un gigantesque hurlement gluttural, couvrant les cieux, et disant « JE SUIS MAIGRE ». J’avais au moins fait une heureuse.