Bienvenue sur depece mode

Cette fille

Kegarawashii :

Elle écarte doucement ses cuisses, un liquide jaunatre teinté de blanc et de rouge S'écoule délicatement sur ses cuisses noires de crasse, elle passe nonchalement un doigt sur son clitoris où elle récupère par la même occasion un filet de ce juteux mélange Dont elle le porte à sa bouche de ma nière cochonne tout en enfonçant doucement le même doigt de l'autre main dans son rectum, afin d'y prélever la précieuse défection Fraichement arrivée à l'orifice, afin de se peindre le corps en noir-vert

Nurglitch :

imagine cette image sordide, cette fille qui écarte les cuisses, pour laisser entrevoir dans un rayon de clarté, la luisance des solutions lubriques qui s'échappent du sexe féminin en putréfaction, dont les rayons de soleil provoquent les exhalaisons de ces fluides innommables. La puanteur de ces produits pourrait réveiller un mort, s'il en fut , et l'approche d'une telle créature laisse un souvenir impérissable par la puanteur de l'outre de luxure, ce cloaque de pestilence

Kegarawashii :

Elle retira sa petite cullotte noir à taches rouge qu'elle n'avait pas changé depuis seulement quelques mois, dès lors de magnifiques petites boursouflures apparurent, signe de la présence de ses amis préféré, les morpions, dont elle avait crée avec eux une liaison mélant amitié et amour maternelle, car elle en prenait soint tout le temps, si forte que même l'amour d'une miriade de mère bersant sa progéniture ne pouvait égaler. Ses petites "bê-bêtes", comme elle les apelle en riant, se nourissent, autre que son de son sang insufisant, d'extrés de mouille qu'elle leur procure chaque heures en enfonçant délicatement une barre métalique chromé, parcemé d'entailles sombres et de bosselettes brillantes,qu'elle avait trouvé dans une benne à odures non loin de chez elle puis, pour assouvire leur faim coriace elle rajoute du sang de ses règles qu' elle conserve soignesement dans son frigo prés du rosbif et du fromage, périmé depuis plusieur années déjà.

Nurglitch :

Ce soir là, la couche était immense. comment une telle couche a-t-elle pu s'accumuler à cet endroit en une journée? ou etait-ce un mois, elle ne le savait plus. heureusement,elle passait au "frot-frot" comme elle l'apellait. Ce frot-frot consistait en un grattoir placé à une hauteur de hanche humaine, avec une face dentelée sur le dessous. elle se dirigea donc vers cet instrument mural, et commença son horrible déhanchement. la couche accumulée sur son sexe commença petit a petit à partir, raclée par le grattoir immonde. au fil des ans, les couches putrides qui s'étaient détachées du grattoir gisaient sur le sol, puis pourissaient doucement, au fil du temps. de nombreux mycéliums se dévellopaient là, tranquilement. puis elle décida que c'était terminé, elle se rhabilla et partit pour l'école.

Kegarawashii :

La journé d'ébuta comme d'habitude, elle se leva et commença son rituel de tout les matins afin de se sortir de son état comateux qu'était le réveille aprés une nuit entière, ou presque, à s'être fait pénétrer de par tout ses orifices par tous les mals des environs , agé de 13 à 99 ans. Ce rituel était à la fois simple, jouissif pour elle et bien sûr efficace; il n'était composé simplement que de deux phases: une première qui ne consitait qu'à se faire lécher sa partie génitrice par son fidèle ami, kaikai le chien, et l'autre qui n'était que la logique continuité de la précédente, lesser kaikai le chien prendre tout son plaisir à ensemencer sa matraîsse.

Nurglitch :

la tension dans la pièce était terrible. Ce jeune homme, qui était jusqu'ici envouté par cette fille parfaite venait de tomber de haut. au moment de leur premier rapportsexuel, lorsque la fille enleva son pantalon de toile cirée, il sentit une légère odeur de vomi, de rendu, qu'il attribuait à la puanteur naturel du sexe féminin, rapportée par ses amis déjà plus précoces. mais lorsqu'elle se mit debout, dos à lui et qu'elle enleva sa petit culotte noire, une terrible pression s'abbatit sur son intellect, et il fut littéralement jeté à terre, à cause de l'odeur centuplée qu'il avait sentie auparavant. avant de mourir, le pauvre puceau eut tout juste le temps d'apercevoir 3 espèces d'insectes différentes sortir du vagin de sa pseudo promise, libérant des gazs oxiques de couleur pourpre. la muqueuse utérine était hypertrophiée, s'était largement dévellopée à l'extérieur, et cette miriade de chair et de sang pendait au sol, parcourue par les blattes en question.

Kegarawashii :

C'était son premier soir, enfin elle avait put trouver un "homme" voulant bien lui enlever sa verginité! Elle alla se coucher sur sur son lit dont une épaisse fumé putride s'échapa ,réunissant dieux seul sais quels mystérieux ingrédiants et dont il ne valait mieux pas le savoir pour la conservation de sa propre santé mentale. Sa pauvre victime, écoeuré par l'odeur, se retena de justesse pour ne pas vomir et ne pas vexer la "charmante demoiselle"; celle ci l'appela à le rejoindre au prés d'elle, un temps de réfléxion de la part du "jeune" garçon l'interpela, elle commença alors à glisser doucement mais surement sa jupe vers ses pieds, il n'en fallut pas plus pour que le garçon se préipita à ses côtés. Une fois le malheureux prés d'elle, elle se positiona sur lui en écartant ses jambes qui nétaient plus cachées par sa jupe, dès lors la victime compri d'où pouvait bien provenir l'odeur qu'il avait senti juste avant, il voulu s'enfuire mais le femme fatal le lui en empécha, elle le plaqua sur son lit et le ligota jusqu'a se que les veines soit tellement visible qu'il sufirait d'une simple feuille pour les trancher. Puis elle retira gaiement sont string, un de ces string mangeable, qu'elle n'avait pas changé depuis plus de trois semaines afin de ne pas avoir à en acheter un autre. La "délicieuse" odeure qui en sorti réanima le condamné qui était tombé dans les pommes à l'idée qu'il allé copuler avec une telle créature, mais mouru tout aussitôt par la monté exponentielle de la puenteur qui se dégagé des orifices génitaux, urétaux et éxcrétaux de la tant envoutante charmeuse morbide.

Nurglitch :

Moi qui avait réussi à en réchapper, je constituais un groupe armé, tous des croquants. Les vilains étaient tous enthousiasmés par cette "chasse au sorcière" moderne. Une fois la porte de l'appartement enfoncée, les paysans dont l'odorat était le plus délicat, s'il en fut parmis de tels bouseux, commencèrent à paniquer, sentant l'odeur de vomi tant relatée, tant crainte. l'un d'eux l'aperçu dans le noir, mais elle gisait à terre, secouée par des spasmes post-mortem. c'est à ce moment que le parfum fit tomber quelques vilains, et que d'autre sortèrent en hurlant du cloaque. Je restai seul, devant la charogne éclairée à la lueur de la lune filtrant à travers les persiennes. cette silhouette entrecoupée était beaucoup plus inhumaine que le racontait les rescapés. j'allumais alors ma torche, lorsque je m'aperçut que le corps s'ouvrait en deux dans le sens caudo_cranial, en commençant par ce vagin blasphématoire, promu à mes oreilles par les même ouie-dires. j'abbatis la bête qui en sortit avec promptitude, car je savais que cette fille n'avait finalement été que l'hote d'un agent pathogène du warp, le gêne de décadence illustrée.

mais j'étais contaminé.